Procès de l'intelligence artificielle

Catherine Millet-Ursin : “Essayer d’anticiper les évolutions du droit”

Anticiper les évolutions de la société et ses conséquences économiques et juridiques : c’était l’un des objectifs du procès fictif de l'intelligence artificielle, organisé le 4 octobre à la cour d'appel de Paris dans le cadre de la Nuit du droit. Pour Catherine Millet-Ursin, avocate au cabinet Fromont-Briens, l’intelligence artificielle aura notamment un impact sur le monde du travail : “Le code du travail de 2041 n’aura sans doute plus rien à voir avec celui de 2018”, prédit-elle.

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