L’Italie interdit la reconnaissance faciale dans l’espace public
Rome a pris cette décision à la suite d’expérimentations dans certaines municipalités et sur recommandation de la Commission nationale de protection des données personnelles. L’usage de systèmes utilisant des données biométriques est autorisé uniquement pour les enquêtes criminelles, en attendant l’adoption d’une loi spécifique.
Pasquale Stanzione, président de la Garante per la protezione dei dati personali, l’équivalent italien de la Cnil.
Photo : GPDP
Les dernières actualités
- il y a 12 heures
Salaire au mérite, site gouvernemental, données… La revue de presse internationale
- il y a 12 heures
Christophe Hugon : “Avant d’ouvrir les données, il faut s’interroger sur leur qualité”
- il y a 12 heures
Le juge ne peut pas remettre en cause l’appréciation des jurys sur l’aptitude professionnelle
- il y a 13 heures
INSP – Vidéosurveillance automatisée
- il y a 13 heures
30 % des professeurs ont adhéré au “Pacte enseignant”