La police israélienne admet avoir utilisé des technologies d’espionnage sans mandat
La police isrélienne, sans nommer le logiciel Pegasus ou la firme NSO, a indiqué qu’une enquête approfondie avait permis de montrer que “de nouveaux éléments modifiaient certains aspects de l’affaire”. Une manière de reconnaître l’utisation du logiciel controversé.

© Daniel Baron/Anadolu Agency/ANADOLU AGENCY VIA AFP
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